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À PROPOS

La géobiologie est une véritable médecine de l'habitat et permet d'obtenir un habitat harmonieux. Mais quel est véritablement le regard de la science vis-à-vis de la géobiologie?

La Géobiologie, véritable médecine de l'habitat

La Géobiologie s'intéresse à la qualité des espaces de vie, elle étudie l'influence des différents rayonnements ambiants, d'où des liens étroits avec la géologie, la géophysique, l'hydrologie, la biologie, la biophysique, l'astrophysique, ou encore l'électronique.
Aux frontières des sciences du vivant, elle invite également à prendre en compte le côté sensitif et le vécu dans son habitat, il s’agit d’appréhender un lieu de vie par une compréhension des différentes forces en présence...

 

Il convient de ne pas sous-estimer l’impact de notre habitation ou de notre lieu de travail, qui sont notre deuxième peau, nous y passons pour certain(e)s vingt heures par jour, il est normal qu'ils influencent notre état physique et émotionnel...

 

Dans une habitation, les nuisances sont multifactorielles, elles se surajoutent et se multiplient les unes par rapport aux autres : ainsi, la nocivité d'une faille sera aggravée par un réseau géomagnétique, par des émanations de produits toxiques générés par certains matériaux, nuisances qui pourront encore accrues par une pollution électromagnétique qui exacerbe tous ces phénomènes...

 

Les perturbations susceptibles de se déclarer dépendront de chaque résistance, ainsi, pour une même cause, l'un des membres de la famille pourra extérioriser une manifestation, alors qu'un autre ne le manifestera pas "visiblement".

 

source http://www.ateliers-habitatvivant.fr/

Obtenir un habitat harmonieux et une meilleure qualité de vie...

Le but de la Géobiologie est de parvenir à retrouver un juste équilibre, que nous appelons cosmotellurique, et qu'en schématisant on pourrait définir ainsi :

 

  • une absence de perturbations, les occupants peuvent se reposer, se détendre et se régénérer... le corps n'est pas mis en réaction face à des sollicitations extérieures perturbantes, et il ne subit pas de modifications biologiques, il n'existe pas non plus de perturbations psychiques génératrices d'angoisse, d'inquiétude, ou de mal-être,...

  • une présence équilibrée et en quantité suffisante des énergies cosmiques et telluriques... les occupants peuvent en quelques sortes "se recharger".

Le travail en géobiologie est-il définitif ?

Une erreur courante consiste souvent à penser qu'une fois l’intervenant passé, tout est alors réglé...
Comme toute chose, un habitat évolue...


Quand nous allons chez le médecin, nous ne pensons pas que son intervention va suffire à rétablir la santé jusqu'à la fin de nos jours ?... de la même manière, avec le temps... une habitation évolue en symbiose avec ses occupants, et comme toute chose en évolution il sera donc nécessaire d'effectuer des ajustements périodiques, quand on se sent mal, et qu'il est nécessaire d'agir...

 

De mon côté, je détecte les sources nocives ou l'origine d'un problème mais pour des raisons que je vous exposerai plus en détails dans mon site, vous comprendrez le pourquoi d ema démarche.

Et la SCIENCE dans tout çà ?

Les sciences se rattachent les unes aux autres, comme les maillons d'une même chaîne, elles font partie d'un même système, allant de l'infini du monde cosmique, à l'infini du monde atomique...
 

La Géobiologie au regard de la science

 

Dans cette approche globale, l'étude de l'influence des rayonnements d'origine tellurique (du latin tellus : terre) et cosmiques, permet d’entrevoir comment l'être humain peut recevoir, capter, moduler, s'adapter et surtout s'orienter à travers la relation microcosme / macrocosme, exprimée ici en terme de "rayonnements".

 

Notre planète est une véritable comète magnétique qui tourne sur elle-même, tout en se déplaçant dans l'univers, ces mouvements s'accompagnent de phénomènes magnétiques et électriques d'induction, autant dans le sol et dans les océans, que dans l'atmosphère et les couches plus élevées, ces phénomènes entretenant un système complexe de charges et de particules en mouvement, toutes en étroite corrélation.

 

Au cours du temps, la vie s'est créée dans ces champs à l'origine même de cet équilibre biologique complexe qui nous régit.
Nos sens habituels nous permettent de percevoir consciemment l'influence du temps et du climat, mais nous sommes moins directement sensibilisés à l'action du sol, aux forces et aux impulsions atmosphériques, ou à celles originaires du cosmos, des travaux ayant démontré que nous recevions continuellement du centre de notre galaxie des ondes gravitationnelles qui ont pu être mises en évidence par des détecteurs très sensibles, ces ondes gravitationnelles étant dues au mouvement des astres et aux forces par lesquelles ceux-ci s'attirent en fonction de leur masse, de leur vitesse de rotation et de la distance qui les sépare, ces ondes influençant le champ magnétique terrestre et sont à l'origine de vibrations ou ondes électromagnétiques composées.

 

 

La molécule d'eau, un Internet biologique...

 

C'est principalement la molécule d'eau qui est le résonateur essentiel des radiations d'origine cosmique ainsi que l'ont démontré notamment les travaux réalisés par le professeur Piccardi de l'Université de Florence, ce savant inspiré ayant observé qu’avec les mêmes expériences exécutées dans des conditions rigoureusement semblables, il obtenait des résultats variables selon la date à laquelle il les réalisait, ce qui est scientifiquement inadmissible (?!)...

 

Recoupant régulièrement ces différences aberrantes, Piccardi formula cette hypothèse de travail : "Puisque seule la date varie, c'est qu'à chacune il se produit "quelque chose", et qu’une force intervient, qui n'est pas la même en mars qu'en septembre, et vient modifier le processus et le résultat de ces expériences...".
Il en déduisit que cette force était l'incidence du champ électromagnétique de la voie lactée, que notre terre traverse forcément sous différents angles dans son mouvement hélicoïdal à travers l'espace, ici intervint le physicien Antonio Giao, qui, réunissant les résultats expérimentaux de Piccardi et les équations d'Einstein, prouva l'existence des champs de ces forces galactiques, l'hypothèse de Piccardi devenait cette fois scientifiquement admissible, et en tous cas, l'explication possible des variations du résultat de ses expériences.

 

À la question suivante : "Mais comment ces forces interviennent-elles dans les réactions chimiques qui se déroulent sur terre ?...", il en conclut que c’était par l'intermédiaire de la molécule d'eau...

 

L’eau, constituée d'hydrogène et d'oxygène, étant à l'origine d'une molécule bipolaire, donc non neutralisée, ce qui favorise le groupement moléculaire, on observe alors que sa structure équilibrée et pentaédrique forme une pyramide à base quadrangulaire, étrange analogie avec nos cinq doigts, la symétrie d'ordre cinq des fleurs ou encore les cinq branches de l'étoile de mer...la construction moléculaire de l'eau, une pyramide à cinq points, se déformant sous l'effet des forces galactiques et produisant dans les réactions chimiques observées, les "effets Piccardi".

 

Ces travaux ont ainsi fait apparaître la notion de cosmo-couplage, à laquelle n'échappe aucun être vivant, car l'eau est présente partout : dans notre sang, dans la moindre de nos cellules, jusque dans les profondeurs du sol terrestre... la modification de la structure moléculaire de l'eau en fonction des périodes de l'année expliquant un grand nombre de nos phénomènes biologiques.

 

 

Le rayonnement cosmique

 

Dès 1903, Rutherford (prix Nobel de physique nucléaire), Mc Clennan, Goeckel, Millikan et Bowen (astrophysiciens américains), ont découvert les radiations électromagnétiques naturelles ultra-pénétrantes, cette découverte ayant été confirmée par les astrophysiciens Goeckel et Kohlôrster, qui les ont appelées ondes cosmiques.

 

À l'aide de ballons sondes, Goeckel démontra, lui, que ces radiations sont beaucoup plus intenses à 4.000 mètres d'altitude qu'au niveau de la mer, de nouvelles expériences montrèrent qu'à 9.000 mètres d'altitude, elles étaient plus actives qu'au niveau du sol, et en 1922, lors de mesures effectuées aux USA, Millikan et Bowen reprirent ces mesures jusqu'à 15.000 mètres d'altitude, puis à 3.500 mètres de profondeur, au fond du lac Muir, et ils démontrèrent que les ondes cosmiques traversaient plus de 37 mètres d'eau, épaisseur équivalente à 1,80 mètre de plomb, ces rayons se révélant cent fois plus pénétrants que les rayons-X les plus durs, et la longueur des ondes les plus courtes serait de l'ordre du 1/200 milliardième de millimètre.

 

Ces astrophysiciens ont également constaté que le minimum d'intensité des rayons cosmiques apparaît vers midi et le maximum vers 23 heures, ce qui tendrait à démontrer que les rayonnements lumineux du jour ont une action considérable sur les ondes cosmiques.
Le rayonnement cosmique ne comprenant cependant pas uniquement les rayonnements solaires et leurs manifestations connues : chaleur, lumière,... en jeux d'absorption et de réflexion par la terre et l'atmosphère, il existe également un rayonnement de micro-ondes qui a son origine hors de notre système galactique, ce rayonnement électromagnétique de très petite longueur d'onde, agirait comme un rayonnement de fond de très haute fréquence, très supérieure au Gigahertz (1 milliard de cycles/ seconde), des observations astrophysiques plus poussées ont révélé également une émission à haute fréquence originaire de la Voie lactée, d'une longueur d'onde de 18 cm.

 

Ces quelques observations très résumées permettent d'entrevoir que le rayonnement cosmique couvre une multiplicité de radiations présentant un apport d'énergie permanent, dont le maximum est atteint dans la bande de fréquences des 70 Ghz, il suffit de se rappeler à quel point cette énergie paraît essentielle à la stimulation de nos fonctions vitales pour comprendre l'importance de telles études.

 

Ainsi, les investigations des astrophysiciens démontrent que tous les astres, dont la terre, loin d'être isolés dans le vide interplanétaire, sont au contraire baignés par des champs de radiations qui leur apporte énergie et vie, ce qui nous permet d'imaginer que le champ interastral est d'origine électromagnétique, dont les supports seraient les rayons cosmiques.
La physique moderne nous apprend également que les particules élémentaires constituant la matière ne doivent pas être vues comme des objets, mais par leur champ gravitationnel, électromagnétique ou nucléaire, et coextensif à tout l'univers.

 

Hormis le rayonnement cosmique, il existe des rayonnements d'origine terrestre, les rayonnements telluriques, dont la science est en mesure de montrer l'existence à l'aide d'appareils de physique ultra-sensibles, tels que le compteur Geiger, ou encore le compteur à hélium,...
 

 

Les influences de surface

 

En dehors des anomalies, tels les failles et les cours d'eau souterrains, il existe à la surface du sol des zones de "turbulences", créées par une plus ou moins forte réflexion ou absorption de ces ondes cosmiques, et plus particulièrement dans les couches superficielles concernant surtout le rayonnement d'ondes courtes, ce que confirma dans ses travaux sur l'oscillation cellulaire, le savant physicien génial Georges Lakhovsky.

 

Constatant que ces rayonnements dépendent de la structure géologique du sol, celui-ci entreprit des recherches afin de démontrer cette relation entre la structure géologique et l'état pathologique des personnes vivant sur un lieu, et il aboutit aux observations suivantes :

  • là où le terrain est constitué par du sable, du calcaire, du gypse, du grès, certaines roches cristallines primitives ou diverses alluvions récentes, ceux-ci ne provoquent pas de réactions notables sur le champ cosmique.La pénétration du rayonnement étant d'autant plus profonde que le terrain est moins conducteur : ainsi, en mer, les réceptions radioélectriques sont excellentes, la nappe d'eau, très conductrice, se comporte comme une surface métallique, favorisant la réflexion et la propagation de ces ondes.

  • alors que là où les terrains sont constitués par des argiles plastiques, des marnes à gypse, des marnes jurassiques, de la craie phosphatée, de la pyrite de fer, des terrains carbonifères et des schistes, ou encore des terrains riches en minerai de fer (à l'origine de courants intenses consécutifs aux réflexions existants à la surface du sol et générant un champ de radiations interférentes qui perturbent notre équilibre oscillatoire cellulaire), la densité de pathologies lourdes y est plus élevée...Le rayonnement cosmique "court" n'étant dans ce cas absorbé que sur une faible profondeur, et provoquant des courants induits suffisamment intenses pour influencer, ou modifier, le champ de rayonnement naturel de la surface du sol.

 

D'autres causes qui contribuèrent à la (re)naissance de la Géobiologie, ont également été mises en évidence, notamment par les travaux du docteur Hartmann, qui constata, lui, que les radiations cosmiques sont en grande partie réfléchies (réfractées, diffusées), et en se combinant au rayonnement initial, produisent un champ induit d'ondes stationnaires et renforcent fortement l'effet pathogène du "réseau H", ainsi :

  • il est fréquent de constater des troubles et des maladies chroniques sur le passage du quadrillage "H" aux emplacements des lits, lorsqu'il s'agit de terrains conducteurs, en particulier d'argile plastique.

  • à l'inverse, il existe des zones à la surface du sol où l'absorption et la pénétration du rayonnement cosmique est telle que la réception radioélectrique est rendue très difficile, c'est le cas des terrains diélectriques constitués de sables, grès, gypses, calcaires, roches cristallines ou alluvions riches en sables et graviers.Cette pénétration des ondes cosmiques s'effectuant alors en profondeur sans donner de réaction sur le champ superficiel, l'activité de ce quadrillage étant dans ce cas nettement moins intense que dans le cas des terrains conducteurs.

   * À intensité égale, une onde courte étant plus vite absorbée dans le sol qu'une onde       longue, et donnant naissance à des courants d'induction plus intenses, ces différences       d'absorption s'accentuant selon la conductibilité des sols, un phénomène d'ailleurs bien       connu des radioélectriciens.

 

Ainsi, résultant de longs siècles d'observation, et ne se résumant pas à des petites recettes, ou des superstitions, la Géobiologie, science de la vie, s'intègre dans une démarche de recherche du bien-être et de l'harmonie au sein de nos lieux de vie...

 

source http://www.ateliers-habitatvivant.fr/

NOUS RENCONTRER

Edgar Poe disait que "l'expérience est une lanterne accrochée dans le dos et qui n'éclaire que le chemin parcourru".

 

Alors si chacun partage son expérience, nous pourrons tous éclairer ensemble nos propres chemins ainsi que celui des autres pour une meilleure évolution personnelle.

S. CASTELLA, Créateur du site et Consultant en Radiesthésie.

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